E-krach : après les dot-com, les places de marché ?
Du ménage en vue dans le B to B (Business to Business) après celui qui s'est fait en 2000 dans le B to C (Business to consumer) et qui s'est révélé ravageur pour le monde dot-com. C'est en tout cas l'opinion de Richard Seurat, vice président de Cap Gemini Ernst &Young. Dans une interview publié sur le site web du Nouvel Hebdo( /www.01net.com/rdn?oid=140412&rub=2832"> 'Richard Seurat (Cap Gemini Ernst & Young): « Les places de marché auront leur e-krach cette année»'), il prévoit qu'un sévère écrémage menace les quelque 3 à 4.000 places de marchés recensées dans le monde . Selon lui, les places de marché qui imitent les centrales d'achat sont vouées à disparaître. Seules devraient survivre celles qui apportent une réelle valeur ajoutée (type Covisint, Elemica ou Enporium) et qui vont beaucoup plus loin que l'acte d'achat en proposant des services complémentaires : gestion de projet, design, ASP (fournisseur d'applications), consulting....