Casinos : Nice Ruhl gagne une place, Cannes Croisette en perd une
Nice Ruhl gagne une place et Cannes Croisette en perd une au "Top Ten" des casinos français pour la saison 2002-2003. Géré par Accor Casinos, Nice Ruhl, avec 63,761 millions de recettes brutes dont 87,94% des machines à sous (recette brute légèrement en retrait de -0,51% par rapport à l'exercice précédent) passe de la cinquième à la quatrième place. Cannes-Croisette (groupe Lucien Barrière) qui caracola dans les toutes premières places dans les années 90, perd une place passant de la sixième à la septième place avec 55,798 millions d'euros de recettes brutes (en baisse de 0,66%), recettes générées en très grande partie par les machines à sous (92,60% du total en 2002-2003, contre 91,64% la saison précédente).Le premier du classement reste le casino d'Enghien dans la région parisienne, qui établit un record français en passant la barre des 100 millions d'euros (117,064 millions d'euros), en augmentation de 43,65% grâce à un net renfort de machines à sous(150 MAS autorisées en juin 2003). A noter la montée du casino d'Aix-en-Provence (groupe Partouche) qui passe de la septième à la cinquième place ( 62,151 millions d'euros, +11,81%) et l'entrée dans ce "Top Ten" du nouveau casino de Lyon avec 40,715 millions d'euros. Au total, les quelques 180 établissements de jeux français ont établi un nouveau record avec des recettes brutes de 2,546 milliards d'euros en hausse de 3,68% par rapport à la saison précédente.