Sophia : trois lauréates pour le Prix Pierre Laffitte 2024

Avec Léa Cailly (bioadhésifs), Matilde Siviero (imageur-détecteur pour protonthérapie) et Dalia Hareb (vision neuromorphique) ce sont trois candidates doctorantes qui ont trusté la remise des prix 2024. Un prix qui met en valeur l’importance de la recherche partenariale pour le développement de solutions innovantes répondant aux grands enjeux de notre société.

L’occasion de célébrer l'innovation et récompenser les meilleurs talents de notre écosystème : c’est ce qu’offre le Prix Pierre Laffitte chaque année. Sa 8ème édition s’est déroulée vendredi dernier dans la technopole sur le Campus Pierre Laffitte, Mines de Paris. Soutenu par la Fondation Sophia Antipolis ainsi que par les écoles doctorales SFA et STIC, SPECTRUM de l’Université Côte d’Azur, cet événement met en lumière l’importance de la recherche partenariale pour le développement de solutions innovantes répondant aux grands enjeux de notre société. (Photo DR : les trois lauréates en présence notamment d’Elie Hachem, directeur du Cemef Mines Paris, Philippe Mariani, directeur des relations internationales de la Fondation Sophia Antipolis et Frank Chikli, adjoint au maire de Cannes au développement universitaire).

Toute la journée neuf candidates doctorantes et trois candidats doctorants, tous en deuxième année de thèse ,ont présenté leur projet devant un jury. Ils avaient tout particulièrement à démontrer la qualité de leurs travaux mais aussi à quel point ces recherches sont ou seront amenés à avoir un impact majeur dans le dynamisme et le renouveau de l’industrie française. 

A ce petit jeu, ce sont les candidates qui ont raflé les trois prix 2024.

  • 1er Prix : Léa Cailly (Mines Paris-PSL / CEMEF). Elle cherche à percer les secrets des bioadhésifs que développent les moules pour la chirurgie de demain
  • 2ème Prix: Matilde Siviero (UCA- CNRS - CRHEA) avec MATRIX, un imageur et un détecteur tout-en-un en nitrure de gallium pour la protonthérapie 
  • 3ème Prix ; Dalia Hareb (UCA , I3S & LEAT) avec le projet de vision neuromorphique (qui cherche à reproduire le fonctionnement du cerveau) combinant événements et images.

 

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