Sophia Antipolis finaliste pour l’accueil du congrès mondial 2026 des parcs scientifiques
La première technopole d’Europe en pleine reconnexion au réseau des grands parcs technologiques internationaux a candidaté pour accueillir le congrès mondial des parcs scientifiques fin 2026 et a été sélectionnée parmi les trois finalistes avec Dhahran (Arabie Saoudite) et Edmonton (Canada). Le lauréat sera dévoilé lors de l’assemblée générale de l’IASP le 26 septembre à Nairobi (Kenya).
Actualisé 09-09-2024 à 17h15 - Un nouveau pas dans la reconnexion de Sophia Antipolis au réseau des grands parcs technologiques internationaux : la technopole a postulé pour accueillir la conférence mondiale 2026 de l’IASP (international Association Of Science Park) et a été retenue parmi les trois finalistes avec Dhahran (Arabie Saoudite) et Edmonton (Canada). Pour défendre sa candidature, la 1ère technopole d'Europe présentera son offre en personne à Nairobi (Kenya) devant les autres membres de l’IASP, lors de la conférence du 24 au 27 septembre 2024. Elle mettra en avant ses atouts en matière d’innovation et de recherche. Les deux autres concurrents défendront également leur projet. La décision finale concernant l'accueil de la conférence mondiale de 2026 sera prise par un vote des membres lors de l'assemblée générale du 26 septembre. (Photo DR).
Réseau mondial des parcs scientifiques, des technopoles et des territoires d’innovations, l’IASP a été fondée en 1984 par…la Fondation Sophia Antipolis alors sous la direction de Pierre Laffitte. Les actions et réflexions qui y sont menées ont pour ambition de contribuer au développement de l’économie mondiale par l’innovation, l’entrepreneuriat et le transfert des connaissances et de la technologie. Elle réunit 400 membres, de 80 pays des 5 continents avec un total de 115.000 entreprises innovantes.
Ce que veut mettre en avant Sophia Antipolis ? Un écosystème unique. Il favorise la collaboration non seulement entre les institutions, mais aussi entre les personnes avec des chercheurs, des entrepreneurs et des startups de premier plan qui se réunissent pour traduire les idées en réalité et mettre le facteur humain au cœur de chaque innovation. Mais au delà, ce que la première technopole d’Europe tient à défendre ce sont ses valeurs, liées à la “Tech for humanity” et à la "Tech for Good". Elle tient à montrer comment la technologie, lorsqu’elle est guidée par des valeurs humaines, peut créer un avenir meilleur pour tous. Ajoutons qu’à cette candidature, la technopole a associé la Côte d'Azur avec l'accueil dans l'un de ses palais des congrès phares. Toute la beauté des villes et rivages de la Riviera, associée à la découverte des entreprises et laboratoires de la technopole, là où s'élaborent les technologies d'aujourd'hui et de demain.
Pour Sophia Antipolis, l’accueil du congrès de l'IASP lui permettrait aussi de renforcer son image d’acteur clé de l'innovation mondiale. Il offrirait des opportunités de réseautage uniques en réunissant des leaders de l’innovation du monde entier offrant un partage de connaissances sur les dernières tendances et innovations dans les domaines technologiques et scientifiques. Et puis, pour la technopole l’occasion aussi de bien montrer que “Sophia is back” dans la grande communauté scientifique internationale.