Tech Supreme Court à Nice : le premier procès fictif de l’IA
L'événement Tech Supreme Court, à Nice le 11 avril, sera le premier procès fictif de l'IA en France. Avec président du tribunal, juges émérites, jurés, procureur général, avocat de la défense et témoins, il se tiendra à la Faculté de Droit et donnera l'occasion, dans un format original, d'aborder les problèmes controversés que pose l'Intelligence Artificielle (implications sociales, impacts sociétaux, enjeux juridiques et réglementaires).
Un événement en vue à Nice : le premier procès fictif de l'IA en France avec la Tech Supreme Court. Dans le cadre des conférences IA dates, il aura lieu le 11 avril, de 17h30 à 20 heures dans les locaux, comme il se doit, de la Faculté de Droit et de Science politique (Amphi 200) du campus Trotabas. L'événement Tech Supreme Court est une initiative unique consacrée aux questions technologiques soulevées par l’Intelligence Artificielle. Inspirée par le concept des cours suprêmes en droit, cette édition niçoise accueillera les leaders azuréens de la tech pour un débat stimulant et éclairant. (Photo DR).
En adoptant le format d'un tribunal fictif, seront ainsi abordés les problèmes controversés que pose l'Intelligence Artificielle (implications sociales, impacts sociétaux, enjeux juridiques et réglementaires). Cette première édition examinera le cas de la sécurité des données, de la manipulation de l’information et de l’automatisation. La Tech Supreme Court sera composée de trois juges émérites, quatre jurés, un procureur général portant les accusations et un avocat défendant la partie mise en cause. Des spécialistes, entrepreneurs et investisseurs participeront également en apportant leur expertise et en témoignant lors de l'audience.
En tant que présidente de la Cour, Marina Telller, professeure de droit privé à l'Université Nice Côte d'Azur et experte IA & Éthique à l’Institut EuropIA, introduira le procès qui sera ensuite ouvert par Marco Landi, président de l’Institut EuropIA et Candace Johnson, serial entrepreneuse, présidente émérite d'EBAN et de Sophia Business Angels. Alors coupable ? Non coupable ? Verdict à 19h45.