Sophia : un accord de coopération avec le plus grand parc scientifique au monde
Dans sa stratégie de reconnexion de la technopole aux grands pôles d’innovation technologiques mondiaux, la Fondation Sophia Antipolis a signé un accord avec le Research Triangle Park en Caroline du Nord, le plus grand parc scientifique mondial. Au programme, des échanges d’étudiants, des partages de connaissances, de ressources et des opportunités pour les startups et les entrepreneurs des deux parties.
Sophia Antipolis va entamer une coopération avec le prestigieux Research Triangle Park américain, le plus grand parc scientifique au monde, pour des échanges entre étudiants, talents, startups, technologies : c’est l’objet d’un accord qui a été signé lundi au Business Pôle de Sophia par Jean Leonetti, président de la CASA, Jean-Pierre Mascarelli, président de la Fondation Sophia Antipolis et Ryan Combs, Executive Director de Research Triangle Regional Partnership (RTRP). (Photo WTM : au Business Pôle, l'instant de signature entre les représentants des deux parcs technologiques.)
Cette signature a été préparée par une mission de la Fondation au RTP en Caroline du Nord aux Etats-Unis. Elle a eu lieu en février dernier et a été menée par Philippe Mariani, directeur des Relations Internationales de la FSA. Ce premier accord d’envergure concrétise aussi la stratégie que la Fondation Sophia Antipolis, a engagée l’an dernier pour se reconnecter avec les grands pôles technologiques mondiaux. Une stratégie de connexion de la technopole au plus haut niveau mondial qui se traduit aussi par une candidature à l’accueil, en 2026, du prochain sommet mondial de l’IASP (Association internationale des parcs scientifiques) .
Si en termes d’industrie de pointe, c’est la Silicon Valley qui figure tout en haut du podium, juste devant le Research Triangle Park, celui-ci la devance en tant que plus grand centre de recherche ou parc scientifique au monde. Situé au cœur de la Caroline du Nord, le RTP, fondé en 1959, relie les villes de Durham, Raleigh (c’est la ville américaine que SKEMA a choisie pour implanter son campus en 2011) et Chapel Hill. Plus étendu que la technopole (28 km2), il regroupe 150.000 emplois et aligne trois universités remarquables, les trois pointes du triangle.
C’est un vivier de l’innovation, en avance notamment sur la santé et les biotechs, dans le domaine de l’agriculture et celui des technologies de l’information (TIC+IOT & IA). Il est prévu de commencer à concrétiser l'accord par des échanges d’étudiants avec des programmes d’immersion. Puis de s’élargir aux talents, aux startups et au marché du financement.
Pour Ryan Combs, “cet accord vise à stimuler l'innovation en partageant des connaissances et des ressources, à renforcer la recherche scientifique à travers des projets de pointe, à encourager l'entrepreneuriat en créant des opportunités pour les startups et les entrepreneurs, et à promouvoir l'éducation en développant des programmes éducatifs avec des institutions comme SKEMA Business School, présente à la fois à Sophia Antipolis et à Raleigh, au cœur du Research Triangle Park.” Pour Sophia Antipolis, première technopole d'Europe, cet accord est aussi une belle reconnaissance.
Commentaires
Sophia Antipolis
SKEMA : Jean-Baptiste ROY, mon fils/ HONG-KONG depuis février 2008 - www. asia-sports-tech.com
Qui l'emmenait au football, alors enfant, capitaine de l'équipe? apprendre à jouer collectif Sa maman
Qui regarde l'Euro 2024 ? sa maman
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Qui avait joué 25 ans au football ? son grand-père : Jacques - Elève issu de la méritocratie / Lycée Rollin Jacques Decour
Qui a joué 26 ans? Jean-Baptiste : le sport, facteur d'intégration Bonne journée à vous