Où va Sophia Antipolis ? Pour Christiane Navas, correspondante du quotidien "Les Echos", la pionnière des technopoles françaises est à un tournant de son développement et prépare sa mutation. Sophia, en dépit de la crise, a pu continuer sa progression et ses indicateurs restent au vert. Le nombre d'emplois augmente régulièrement comme celui des entreprises. De nouveaux programmes de bureaux sont lancés. Le Campus STIC devrait ouvrir à l'horizon 2012. Amadeus, le premier employeur de la technopole, est en pleine santé et prévoit de continuer à recruter entre 200 et 250 personnes en 2011, tandis que "l'écosystème sophipolitain, avec son bassin de compétences et d'expertises, a joué son rôle pour préserver l'attractivité du parc technologique".
La technopole n'en prépare pas moins sa mutation avec désormais un pilote bien identifié et incontesté : le Symisa (Syndicat mixte d'aménagement de Sophia-Antipolis) que préside le député-maire et président de la communauté d'agglomération de Sophia-Antipolis, Jean Leonetti. "Six équipes travaillent sur ce projet, le choix interviendra fin janvier", précise ainsi dans "Les Echos" Jacques Masboungi, aujourd'hui directeur général du Symisa.
Lire dans Lesechos.fr : "Sophia-Antipolis à un tournant de son développement"
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