C'est l'une des "success stories" de Sophia Antipolis qui change pas de mains mais de tête : fondateur d'ASK Georges Kayanakis, prend sa retraite et nomme Bruno Moreau, numéro deux de la société. Georges Kayanakis qui avait fondé en 1997 ASK, devenu aujourd'hui l'un des leaders de la technologie sans contact, avait décidé en fin dannée de prendre sa retraite après être resté neuf années à la barre en tant que président et directeur général. Pour le remplacer, il a nommé Bruno Moreau, co-fondateur dASK, précédemment Directeur Général Délégué et Directeur du Business Development chez ASK.
"Quand jai créé la société en 1997, javais besoin dune personne de confiance pour gérer les relations avec les investisseurs et, plus globalement, assurer le développement de lentreprise", commente Georges Kayanakis. "Bruno avait lexpérience et lexpertise adéquates ainsi que la connaissance du marché dont javais besoin. Bruno Moreau a été impliqué dans les acquisitions majeures et lexpansion internationale dASK depuis le départ de son activité et en tant que membre du conseil dadministration, co-fondateur et dirigeant actif de la société, je suis certain quil gérera la société comme elle le mérite", ajoute-t-il.
ASK est un pionnier dans le monde du sans contact. La société sophipolitaine a développé une technologie et un process de fabrication innovants pour répondre en premier lieu aux problématiques du transport public. Elle a adressé ensuite dautres secteurs qui pouvaient bénéficier des avantages du sans contact.
"ASK a beaucoup datouts, quil sagisse de technologie, doutil industriel ou de R&D, et ceci inclut les ressources humaines en place" note Bruno Moreau. "De nos jours, le sans contact fait partie de notre quotidien dans le transport public ou le contrôle daccès. De nouveaux secteurs souvrent à cette technologie et cela présage dun bel avenir pour ASK et de nombreuses personnes dans le monde. Les cartes à puce sans contact ou les passeports électroniques facilitent la mobilité du citoyen et rendre la vie plus facile devrait être la raison dêtre de la haute technologie."
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