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Monaco : le goût amer du procès Hobbs-Melville

Pas tendre Libération au sujet du procès Hobbs-Melville qui doit se terminer aujourd'hui à Monaco sur la plus vaste escroquerie financière qui ait eu lieu dans la Principauté (jusqu'à 140 millions d'euros engloutis au grand dam de 400 riches investisseurs). Ce procès, estime le correspondant de Libé, Michel Henry a "selon les parties civiles, toutes les allures d'un naufrage judiciaire : entre la récusation du président en cours d'audience et le refus par le tribunal d'entendre de hauts responsables politiques de la Principauté, les avocats des victimes dénoncent des décisions «qui n'ont d'autre fin que de protéger l'Etat monégasque» d'éventuels recours". William et Shelley Fogwell, qui avaient mené les opérations financières étant insolvables, le seul espoir des victimes d'obtenir une réparation était de démontrer la responsabilité de l'Etat monégasque qui aurait pêché au minimum selon les parties civiles par "un manque de vigilance". "Mais le tribunal a freiné des quatre fers dès qu'il s'est agi d'entendre comme témoin le ministre des Finances". Lire dans Libé "L'Etat monégasque se défile au procès d'une escroquerie".France3 va même un peu plus loin. Dans l'article "Procès Hobbs-Melville: cinq ans de prison ferme requis contre les dirigeants" mis en ligne hier soir, la procureure Annie Brunet-Fuster, note que "l'audience va laisser un souvenir amer pour beaucoup d'entre nous car cette audience s'est mal passée". Et de réitérer à l'occasion sa position soutenant la demande des parties civiles qui voulaient obtenir l'audition des principaux dirigeants de l'administration monégasque. "Je considère que les témoins auraient dû venir devant ce tribunal même pour dire qu'ils n'avaient rien à dire. Dont acte", conclut Annie Brunet-Fuster, citée par France3.fr


Pas tendre Libération au sujet du procès Hobbs-Melville qui doit se terminer aujourd'hui à Monaco sur la plus vaste escroquerie financière qui ait eu lieu dans la Principauté (jusqu'à 140 millions d'euros engloutis au grand dam de 400 riches investisseurs). Ce procès, estime le correspondant de Libé, Michel Henry a "selon les parties civiles, toutes les allures d'un naufrage judiciaire : entre la récusation du président en cours d'audience et le refus par le tribunal d'entendre de hauts responsables politiques de la Principauté, les avocats des victimes dénoncent des décisions «qui n'ont d'autre fin que de protéger l'Etat monégasque» d'éventuels recours". William et Shelley Fogwell, qui avaient mené les opérations financières étant insolvables, le seul espoir des victimes d'obtenir une réparation était de démontrer la responsabilité de l'Etat monégasque qui aurait pêché au minimum selon les parties civiles par "un manque de vigilance". "Mais le tribunal a freiné des quatre fers dès qu'il s'est agi d'entendre comme témoin le ministre des Finances". Lire dans Libé "L'Etat monégasque se défile au procès d'une escroquerie".

France3 va même un peu plus loin. Dans l'article "Procès Hobbs-Melville: cinq ans de prison ferme requis contre les dirigeants" mis en ligne hier soir, la procureure Annie Brunet-Fuster, note que "l'audience va laisser un souvenir amer pour beaucoup d'entre nous car cette audience s'est mal passée". Et de réitérer à l'occasion sa position soutenant la demande des parties civiles qui voulaient obtenir l'audition des principaux dirigeants de l'administration monégasque. "Je considère que les témoins auraient dû venir devant ce tribunal même pour dire qu'ils n'avaient rien à dire. Dont acte", conclut Annie Brunet-Fuster, citée par France3.fr

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