MedDays : 35 jeunes scientifiques méditerranéens à la découverte de Sophia

A l'heure où il est de plus en plus difficile d'attirer les jeunes vers les études scientifiques et la recherche fondamentale, comment faire venir de futurs chercheurs et ingénieurs sur la technopole ? Une des réponses à cette question tient dans les MedDays (Mediterranean Students Days) dont la troisième édition aura lieu du mercredi 18 au vendredi 20 février sur le Campus SophiaTech. A Sophia Antipolis, les acteurs de la recherche et de l’enseignement supérieur ont en effet voulu se mobiliser pour donner de la visibilité à leurs activités. Soutenus par des partenariats avec des universités étrangères, ils ont souhaité attirer de nouveaux profils brillants dans leurs cursus et laboratoires.

Pour ces troisièmes MedDays, 35 étudiants originaires d’Italie, de Grèce, de Tunisie, du Maroc, d’Algérie, d’Égypte, du Liban, de Turquie et d’Espagne ont été invités pendant trois jours à découvrir les richesses de l’enseignement et de la recherche qu’offre la technopole. Ils ont été sélectionnés pour leurs résultats brillants, en collaboration avec les universités et les écoles partenaires. Pour la plupart, c’est la première fois qu’ils quittent leur pays d’origine.

Le but de ces journées est de permettre à ces étudiants étrangers de niveau master I de s’informer sur les différentes formations et travaux de recherche proposés sur le campus. L’échange d’informations et la prise de contact directe sont placés au coeur de cet événement avec les chercheurs des différents instituts du campus qui viendront à la rencontre des étudiants pour leur présenter leur thématique de recherche. Des anciens étudiants étrangers seront également invités à témoigner sur leurs parcours et expériences. Toutes les formations du campus seront présentées. L’objectif est d’attirer de nouveaux profils au sein d’une formation ou d’une équipe de recherche via un stage ou une thèse.

Cet événement est piloté et financé par le Labex UCN@sophia, Inria, I3S (CNRS-‐UNS), le LEAT (CNRS-‐UNS), et soutenu par l’école doctorale STIC et l’Institut Français de Grèce.