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Le journalisme aujourd'hui selon Nicolas Pélissier (Le Temps, Genève)

"Le journaliste n’est plus le seul maître à bord, l’unique producteur d’information. Il doit gérer une nouvelle concurrence. Comme les entreprises du secteur privé, la profession doit se doter de normes de qualité", estime Nicolas Pélissier, coresponsable de l’option journalisme à l’Institut de technologie de l’Université de Nice et chercheur au laboratoire multimédia i3m de Toulouse. Interrogé par le quotidien de Genève Le Temps alors qu'il intervenait début septembre à Perpignan sur un colloque intitulé "La disparition du journalisme?" Nicolas Pélissier part d'un constat : la visibilité toujours plus grande des images et de l’information amateurs dans les médias et sur le Web. Une montée qui s’explique pour des raisons aussi bien technologiques, économiques, sociologiques, culturelles qu’esthétiques.Face à un phénomène de grande ampleur, le spécialiste des mutations journalistiques créées par les nouvelles technologies estime que le journalisme doit d’abord reconquérir sa place de producteur primaire d’information. Cela par deux moyens : une présence accrue sur le terrain et une spécialisation dans des domaines particuliers. Voir l'interview dans "Le Temps" (accès payant) : "Comme les entreprises, le journalisme doit se doter de normes de qualité".


"Le journaliste n’est plus le seul maître à bord, l’unique producteur d’information. Il doit gérer une nouvelle concurrence. Comme les entreprises du secteur privé, la profession doit se doter de normes de qualité", estime Nicolas Pélissier, coresponsable de l’option journalisme à l’Institut de technologie de l’Université de Nice et chercheur au laboratoire multimédia i3m de Toulouse. Interrogé par le quotidien de Genève Le Temps alors qu'il intervenait début septembre à Perpignan sur un colloque intitulé "La disparition du journalisme?" Nicolas Pélissier part d'un constat : la visibilité toujours plus grande des images et de l’information amateurs dans les médias et sur le Web. Une montée qui s’explique pour des raisons aussi bien technologiques, économiques, sociologiques, culturelles qu’esthétiques.

Face à un phénomène de grande ampleur, le spécialiste des mutations journalistiques créées par les nouvelles technologies estime que le journalisme doit d’abord reconquérir sa place de producteur primaire d’information. Cela par deux moyens : une présence accrue sur le terrain et une spécialisation dans des domaines particuliers. Voir l'interview dans "Le Temps" (accès payant) : "Comme les entreprises, le journalisme doit se doter de normes de qualité".

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