'L'enthousiasme frénétique des investisseurs pour les ' Net companies ' outre-atlantique pourrait bien être en train de gagner la France, par l'intermédiaire des business angels et des capital-risqueurs. [ ] Ce qui importe, c'est le potentiel du segment attaqué, la part de marché espérée, la croissance attendue de l'activité (jusqu'à 300 fois leur chiffre d'affaires) ou la part d'audience atteinte, censée préfigurer leurs chances de bénéficier un jour de l'explosion de la publicité et des ventes en ligne.' [ ] Marion Silvente
Extrait de : L'ENTREPRISE - Septembre 99
L'éco de la Côte.