Marc Lavoine et Donald Sutherland dans "Crossing Lines" (DR)
Evénement hier soir, lors de la cérémonie d’ouverture du Festival de Télévision de Monte-Carlo, avec la projection, en présence de toute l’équipe du film, des deux premiers épisodes de Crossing Lines, une série policière internationale qui relate les aventures d’une unité d’élite mandatée par la Cour Pénale Internationale afin d’enquêter sur des affaires de crime organisé. Parcourant les quatre coins du monde, certains épisodes se déroulant même sur la Côte d’Azur, les enquêteurs traquent les criminels les plus recherchés pour les livrer à la justice. Crossing Lines est également une histoire de rédemption et de revanche : celle de Carl Hickman, flic déchu de la Police de New York, secouru de justesse par d’improbables sauveurs, et celle du Capitaine Louis Daniel, chef d’une unité de forces spéciales, qui traque les criminels mais dont le motif profond est de se venger des assassins de son fils.
Un casting international avec Marc Lavoine
Cette série créée par Edward Allen Bernero (le producteur d’Esprits Criminels), qui sera diffusée aux Etats-Unis sur NBC à partir du 23 juin, avant de l’être dans 81 pays dont la France sur TF1, bénéficie d’un casting international avec William Fitchner, remarqué dans Prison Break, dans le rôle de Carl Hickman, Donald Sutherland et Marc Lavoine dans le rôle de Louis Daniel. Le comédien et chanteur français qui a été emballé par cette intrigue policière sur la quête d’un monde plus sûr, mais qui est aussi une belle histoire d’amitié et de confiance mutuelle et un récit sur la magie éternelle de la passion des jeunes années et son pouvoir d’inspirer même les âmes les plus torturées à se remémorer leur ferveur d’antan et lutter pour se retrouver. Pour Marc Lavoine, c’était aussi un rêve et un moment rare dans une carrière d’acteur de pourvoir rencontrer et croiser le regard de Donald Sutherland, un monstre sacré du cinéma. Le moins que l’on puisse dire, d’après ses propos tenus ce matin en conférence de presse, c’est que le tournage ne lui a révélé que de bonnes surprises et qu’il n’y a connu aucune déception, surtout pas de la part de Donald Sutherland qui lui a manifesté un soutien permanent et a fait preuve à son égard d’une courtoisie et d’une gentillesse absolue, tout comme du reste l’ensemble de l’équipe de la série, acteurs et techniciens qui ont apporté leur talent pour construire une histoire collective au sein de laquelle l’idée même de l’intelligence collective, était au cœur du projet.