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Courte mais précieuse victoire de l’AS Cannes face à Niort : l’interview de Victor Zvunka

Courte mais précieuse victoire de l’AS Cannes face à Niort : l’interview de Victor Zvunka

 

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Pour la première rencontre sur le banc de leur nouvel entraîneur, Victor Zvunka, les footballeurs cannois ont remporté une courte mais précieuse victoire face à Niort, vendredi soir au stade Pierre de Coubertin. Une victoire acquise dans la difficulté grâce à un but inscrit de la tête sur corner par Jan Koller à la 65e minute. Un avantage que les cannois réussirent à conserver jusqu’à la fin de la rencontre malgré quelques frayeurs et un penalty sifflé pour les niortais à la 75e, mais sur lequel le gardien ascéiste Jérémy Gavanon réussit un arrêt décisif. Un succès vécu comme un soulagement par Victor Zvunka qui nous a livré ses impressions à l’issue du match.

 

 

Heureux et soulagé après cette courte mais précieuse victoire ?

 

Heureux peut être pas, mais content parce qu’on a souffert. Il y a eu même ce penalty où heureusement, Jérémy Gavanon a répondu en effectuant un bel arrêt et en nous sortant une belle épine du pied. Maintenant, après 3 jours de travail, on va retenir les 3 points de la victoire car c’était très important. Si on veut continuer à se maintenir dans le haut du tableau, il faut gagner ce genre de rencontres à domicile. Ce soir, cela a été difficile, mais, en se retroussant les manches, les gars ont répondu présent.

 

Vous aviez réclamé de l’enthousiasme de la part de vos joueurs. Ce soir, il a tardé à venir, même si la rentrée de Paulin Voavy a fait beaucoup de bien ?

 

Oui, tout à fait. Pendant 15, 20 minutes, il nous a apporté un peu de folie. Je pense aussi que Benoît Leroy, a apporté par son entrée un peu plus de stabilité au milieu de terrain. Malheureusement, après on est retombé dans nos travers et il y a eu ce penalty qui nous a fait peur. Ensuite, Niort voulait absolument revenir au score et a pris pas mal de risques. Ce soir, cela n’a pas payé mais c’est quand même une belle équipe qui va sûrement embêter pas mal de clubs d’ici la fin de saison.

 

Vous vouliez aussi insuffler de la confiance à vos joueurs. Sur ce point, il reste encore beaucoup de travail ?

 

Oui, bien sur, mais vous savez c’est le discours d’un nouvel entraîneur après une semaine qui avait été très difficile. Maintenant, il faut, par l’intermédiaire des matchs, retrouver un peu de confiance dans le jeu. Mais sur le terrain, il y a malheureusement un adversaire et il est nécessaire de s’adapter. Ce sera sans doute un peu long pour retrouver un allant et un dynamisme dans cette équipe, mais si on reste sur cet état d’esprit et qu’on continue à bien travailler, on devrait retrouver quelque chose de mieux dans les quinze jours, trois semaines.

 

Justement, comment s’est passée cette première prise de contact avec vos joueurs ?

 

Très bien, je pense qu’ils sont à l’écoute. Bon, c’est aussi comme on dit le choc psychologique. Avec l’arrivée d’un nouvel entraîneur, on essaye de voir ce qui va et ce qui ne va pas. On essaye de montrer qu’on est capable de jouer donc il y a beaucoup d’enthousiasme. Après, il y la vérité du terrain qui guidera mes choix, mais comme je dis souvent : comme on s’entraîne, on joue, donc on va continuer sur cette voie là.

 

Le prochain match est difficile, chez le leader à Bastia ?

 

Oui, mais tous les matchs sont difficiles. Je ne vais pas me fixer comme référence le match de Bastia. On va se préparer et on essayera d’aller là bas pour faire un bon résultat, mais ce n’est pas le match de l’année, il restera encore pas mal de matchs derrière. A nous de savoir répondre présent et pourquoi pas de ramener quelque chose de Bastia.

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