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Corse-Matin : la grève s'envenime avec le blocage des dépôts de carburants de l'île

La grève des porteurs de Corse-Matin, lancée le 18 avril dernier, soit il y a un mois, s'est encore envenimée hier alors que les négociations restent au point mort. Les grévistes, qui ont d'abord bloqué pendant deux jours l'arrivée de Corse-Matin (45.000 exemplaires) quotidien qui dans l'attente d'un retour à la normale n'est plus imprimé depuis, avaient ensuite bloqué l'entrée de tous les quotidiens et magazines dans l'île jusqu'à vendredi dernier. Ils ont cette fois décidé de faire monter la pression en s'attaquant à l'approvisionnement de l'île en carburant. Hier matin, ils ont en effet bloqué l'accès aux dépôts pétroliers de Bastia et Ajaccio, dépôts qui alimentent toute la Corse, cela après avoir suspendu jusqu'à vendredi midi les négociations avec la direction du groupe Nice-Matin, propriétaire de Corse-Matin.Dans la matinée d'hier, Jean-Marie Orsoni, délégué du Syndicat des Travailleurs Corses (syndicat qui s'était révélé redoutable dans le conflit de la SNCM) a déclaré que les dépôts de carburants resteraient bloqués jusqu'à l'issue des négociations. Cette entrée du STC dans le conflit avait été annoncée mardi, à travers une menace d'appel à la grève générale et au blocage de certains secteurs de l'île si les négociations n'avançaient pas. Une menace qui a été mise à exécution jeudi. Le conflit qui oppose les porteurs STC et FO de Publinice Services en Corse, porte sur une revalorisation des salaires.


La grève des porteurs de Corse-Matin, lancée le 18 avril dernier, soit il y a un mois, s'est encore envenimée hier alors que les négociations restent au point mort. Les grévistes, qui ont d'abord bloqué pendant deux jours l'arrivée de Corse-Matin (45.000 exemplaires) quotidien qui dans l'attente d'un retour à la normale n'est plus imprimé depuis, avaient ensuite bloqué l'entrée de tous les quotidiens et magazines dans l'île jusqu'à vendredi dernier. Ils ont cette fois décidé de faire monter la pression en s'attaquant à l'approvisionnement de l'île en carburant. Hier matin, ils ont en effet bloqué l'accès aux dépôts pétroliers de Bastia et Ajaccio, dépôts qui alimentent toute la Corse, cela après avoir suspendu jusqu'à vendredi midi les négociations avec la direction du groupe Nice-Matin, propriétaire de Corse-Matin.

Dans la matinée d'hier, Jean-Marie Orsoni, délégué du Syndicat des Travailleurs Corses (syndicat qui s'était révélé redoutable dans le conflit de la SNCM) a déclaré que les dépôts de carburants resteraient bloqués jusqu'à l'issue des négociations. Cette entrée du STC dans le conflit avait été annoncée mardi, à travers une menace d'appel à la grève générale et au blocage de certains secteurs de l'île si les négociations n'avançaient pas. Une menace qui a été mise à exécution jeudi. Le conflit qui oppose les porteurs STC et FO de Publinice Services en Corse, porte sur une revalorisation des salaires.

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