Corruption des marché public : le flagrant délit de Nice (Libération)
En prélude au procès de corruption de Nice qui doit s'ouvrir demain mardi au tribunal de Nice, Libération, donne un coup de flash sur la façon dont a pu être obtenu –phénomène très rare- un flagrant délit de corruption sur des marchés publics ("Corruption à Nice: la bande-son au tribunal"). "Moteur décisif de cette enquête : des écoutes téléphoniques qui ont permis d'assister en temps réel aux malversations et d'archiver les aveux. Cette instruction, menée par le juge Christian Guéry, se distingue encore par sa célérité : ouverte en octobre 2002, l'enquête s'est achevée en novembre 2003", souligne le quotidien. Huit personnes seront jugées à partir de demain dont ceux qui apparaissent comme les trois personnages clés Michel Vialatte, directeur général des services de la mairie de Nice, Pierre Bérest, l'intermédiaire, et Philippe Pariset, directeur de la société A3COM.