Comment Sophia connecte voitures et chercheurs (Usine nouvelle)

"À 50 ans, la technopole azuréenne déploie dans les voitures du futur de nouvelles fertilisations croisées grâce à ses atouts historiques dans l’informatique et l’intelligence artificielle" écrit le magazine Usine Nouvelle". Sous le titre "Sophia Antipolis connecte voitures et chercheurs", il s'est intéressé à une activité nouvelle mais en plein essor dans la technopole : l'automotive. Certes plusieurs entreprises travaillaient déjà depuis plusieurs années dans l'automobile (Toyota, Magnetti-Marelli, IMRA Europe, Bosch, NXP, Gemalto…). Mais c'est l'arrivée de Renault Software Lab, avec la reprise des équipes d'Intel, qui a appuyé sur l'accélérateur et a boosté le club Smart Vehicle Côte d’Azur. Il rassemble désormais 70 entreprises.

Le mouvement est maintenant bien enclenché. Sa crédibilité a encore été renforcée par l'appui de grandes entreprises (Accenture, Thales, ARM, Amadeus…), la création de start-up (Kalray, Epicnpoc…), la montée en puissance de l'Université Côte d'Azur qui joue la relation avec les entreprises et le cap mis sur l'Intelligence artificielle avec la labellisation 3IA. "Il y a sur la Côte d’Azur une vraie carte à jouer sur les convergences entre véhicules autonomes et territoires intelligents" note Emmanuel Viale, directeur du site d'Accenture Labs, cité par le magazine. "Sophia Antipolis devient un terrain d’expérimentation à ciel ouvert" ajoute-t-il en évoquant l’expérience lancée par la CASA d'une navette autonome au milieu de la circulation.

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