La Préfecture des Alpes-Maritimes accueillait hier la première réunion du comité stratégique Wipro destiné à faciliter le dialogue social afin de trouver des solutions d’avenir face à la décision de la multinationale indienne de fermer son site de Sophia Antipolis, spécialisé dans la R&D sur la connectivité sans fil. L’occasion de rencontrer l’un des représentant du personnel, Bruno Jechoux, plutôt satisfait de certaines avancées obtenues lors de ce comité stratégique, même si sur de nombreux points, il convient encore de passer de la déclaration d’intention à des actes concrets. Pour lui, le PSE est encore très insuffisant et il réclame davantage d’efforts de Wipro, notamment sur l’indemnité de préjudice et sur l’aide apportée aux projets de reprise partielle portés par certains salariés. Bruno Jechoux reconnaît tout de même que les discussions ont bien avancé depuis quinze jours et que la mobilisation commence à payer.
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