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Chômage : le nouveau calcul de l'Insee confirme la baisse 2006

On attendait les chiffres du taux de chômage suite à la nouvelle méthode de calcul. Ils ont été publiés ce matin par l'Insee. Désormais établi à partir d’une définition qui le rapproche des statistiques européennes, le taux de chômage au sens du Bureau international du travail est à la baisse. "Selon cette nouvelle approche, il s’élève à 8,1 % de la population active en France métropolitaine au deuxième trimestre de 2007", note l'Insee. Après avoir légèrement augmenté en 2005, le chômage diminue régulièrement depuis le début de 2006 (il avait atteint 9,1% au premier trimestre 2006). C'est donc une baisse de 0,9% qui a été enregistrée sur un an. Calculé en moyenne annuelle, le taux s’était établi en 2006, comme en 2005 et en 2004, à 8,8 % de la population active pour la France métropolitaine, soit 2,4 millions de personnes.

On attendait les chiffres du taux de chômage suite à la nouvelle méthode de calcul. Ils ont été publiés ce matin par l'Insee. Désormais établi à partir d’une définition qui le rapproche des statistiques européennes, le taux de chômage au sens du Bureau international du travail est à la baisse. "Selon cette nouvelle approche, il s’élève à 8,1 % de la population active en France métropolitaine au deuxième trimestre de 2007", note l'Insee. Après avoir légèrement augmenté en 2005, le chômage diminue régulièrement depuis le début de 2006 (il avait atteint 9,1% au premier trimestre 2006). C'est donc une baisse de 0,9% qui a été enregistrée sur un an. Calculé en moyenne annuelle, le taux s’était établi en 2006, comme en 2005 et en 2004, à 8,8 % de la population active pour la France métropolitaine, soit 2,4 millions de personnes.

 

Le taux d’activité est également stable en moyenne annuelle précise l'Insee : 55,9 % des personnes âgées de 15 ans ou plus. Cette stabilité globale recouvre une baisse du taux d’activité des hommes, essentiellement du fait du vieillissement démographique, compensée par la poursuite de la hausse tendancielle du taux d’activité des femmes. En moyenne en 2006, 1,3 million de personnes sont en situation de sous-emploi, c’est-à-dire ont un emploi, le plus souvent à temps partiel, mais souhaiteraient travailler davantage. Au sujet des polémiques qui avaient éclaté avant les présidentielles sur les statistiques du chômage, l'Institut note que l’"ensemble des changements a au final un impact sur le niveau du taux de chômage, mais modifie peu ses évolutions récentes telles que mesurées par l’enquête Emploi".

 

+ d'infos

www.insee.fr

 

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