Jean Leonetti coupant le Ruban lors de l’inauguration du Monoprix d’Antibes aux côtés de Philippe Huzé (PDG du groupe Monoprix), Stéphane Macaire (DG Monoprix), David Macaigne (Directeur du magasin d'Antibes et de M. Poirier (propriétaire des Locaux).
Après une inauguration officielle lundi soir, Monoprix a ouvert hier au public les portes de son 450ème point de vente. Un magasin implanté Place de Gaulle, dans un bâtiment prestigieux chargé d’histoire: celui du Grand Hôtel qui fut ensuite transformé successivement en théâtre, en cinéma et en magasin de meubles. Pour le PDG du groupe Monoprix, Philippe Huzé, « Ce magasin illustre bien la vocation de notre enseigne : rendre le beau et le bon accessibles au plus grand nombre ». Sur 1 700 m2, les clients pourront y découvrir les univers mode/beauté, maison et alimentaire à travers un parcours sur deux niveaux. L’offre alimentaire s’exprimera notamment au travers des grandes marques nationales et des marques propres du groupe comme Monoprix Gourmet et Monoprix Bio. Une équipe de 56 personnes dirigée par David Macaigne sera au service de la clientèle, dont 30 ont été recrutées sur le plan local avec le concours de Pôle Emploi.
La reconquête du centre ville
Pour le Maire d’Antibes, Jean Leonetti, « l’implantation de Monoprix en plein cœur de ville est le fruit d’une longue maturation et d’une longue réflexion sur les moyens d’inciter les antibois à ne plus aller dans les villes voisines acheter des produits que l’on aurait pu leur fournir sur place ». Pour cela, il était nécessaire de redynamiser le centre ville et d’y attirer des enseignes locomotives. Les études réalisées à l’époque prônaient l’implantation d’une enseigne de type Monoprix. Un souhait plus que comblé aujourd’hui avec l’arrivée de la marque modèle qui donne le signal de la reconquête commerciale du centre ville. Une stratégie qui sera amplifiée dans les années à venir avec la venue de nouvelles enseignes qui, couplée à la création de cinémas et d’équipements culturels, redonneront de l’attractivité au cœur de ville, autrefois délaissé au profit de la périphérie.